Paroisse de la Sainte Famille
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Diocèse de Moulins
Les 27 clochers de la paroisse
MESSAGE DU PAPE
FRANÇOIS
POUR LA CÉLÉBRATION DE LA
LVe JOURNÉE MONDIALE DE LA PAIX
1er JANVIER 2023
Personne ne peut se sauver tout seul.
Repartir après la Covid-19 pour tracer ensemble des sentiers de paix
« Pour ce qui est des temps et des moments de la venue du Seigneur, vous n’avez pas besoin, frères, que je vous en parle dans ma lettre. Vous savez très bien que le jour du Seigneur vient comme un voleur dans la nuit » (Première Lettre de Saint Paul aux Thessaloniciens 5, 1-2).
1. L'Apôtre Paul invitait par ces mots la communauté de Thessalonique à rester ferme dans l'attente de la rencontre avec le Seigneur, les pieds et le cœur sur terre, capable de porter un regard attentif sur la réalité et les événements de l'histoire. C'est pourquoi, même si les événements de notre existence semblent tragiques et que nous nous sentons poussés dans le tunnel sombre et pénible de l'injustice et de la souffrance, nous sommes appelés à garder le cœur ouvert à l'espérance, en faisant confiance à Dieu qui se rend présent, nous accompagne avec tendresse, nous soutient dans notre fatigue et, surtout, guide notre chemin. C'est pourquoi saint Paul exhorte constamment la communauté à veiller, en recherchant le bien, la justice et la vérité : « Ne restons pas endormis comme les autres, mais soyons vigilants et restons sobres » (5, 6). C'est une invitation à rester en éveil, à ne pas nous enfermer dans la peur, la souffrance ou la résignation, à ne pas céder à la distraction, à ne pas nous décourager, mais à être au contraire comme des sentinelles capables de veiller et de saisir les premières lueurs de l'aube, surtout aux heures les plus sombres.
2. La Covid-19 nous a plongés dans la nuit, déstabilisant notre vie ordinaire, chamboulant nos plans et nos habitudes, bouleversant l'apparente tranquillité des sociétés, même les plus privilégiées, entrainant désorientation et souffrance, causant la mort de beaucoup de nos frères et sœurs.
Entrainé dans un tourbillon de défis imprévus et dans une situation qui n'était pas très claire, même du point de vue scientifique, le monde de la santé s'est mobilisé pour soulager la douleur de nombre de personnes et tenter d'y remédier, tout comme les Autorités politiques qui ont dû prendre des mesures importantes en termes d'organisation et de gestion de l'urgence.
En plus des manifestations physiques, la Covid-19 a provoqué, parfois à long terme, un malaise général qui a grandi dans le cœur de nombreux individus et familles, avec des effets considérables alimentés par de longues périodes d'isolement et diverses restrictions de liberté.
En outre, nous ne pouvons pas oublier la manière dont la pandémie a touché certains aspects sensibles de l’ordre social et économique, faisant ressortir des contradictions et des inégalités. Elle a menacé la sécurité de l'emploi de nombreuses personnes et aggravé la solitude de plus en plus répandue dans nos sociétés, notamment celle des plus faibles et des pauvres. Pensons, par exemple, aux millions de travailleurs clandestins dans de nombreuses régions du monde, qui sont restés sans emploi et sans aucun soutien durant tout le confinement.
Les individus et la société progressent rarement dans des situations générant un tel sentiment de défaite et d'amertume : ce dernier affaiblit les efforts dépensés pour la paix et provoque des conflits sociaux, des frustrations et des violences de toutes sortes. En ce sens, la pandémie semble avoir bouleversé même les parties les plus paisibles de notre monde, faisant ressortir d'innombrables fragilités.
3. Après trois années, l’heure est venue de prendre le temps de nous interroger, d'apprendre, de grandir et de nous laisser transformer, tant individuellement que communautairement ; un temps privilégié pour se préparer au "jour du Seigneur". J'ai déjà eu l’occasion de répéter qu’on ne sort jamais identiques des moments de crise : on en sort soit meilleur, soit pire. Aujourd'hui, nous sommes appelés à nous demander : qu'avons-nous appris de cette situation de pandémie ? Quels chemins nouveaux devons-nous emprunter pour nous défaire des chaînes de nos vieilles habitudes, pour être mieux préparés, pour oser la nouveauté ? Quels signes de vie et d'espérance pouvons-nous saisir pour aller de l'avant et essayer de rendre notre monde meilleur ?
Après avoir touché du doigt la fragilité qui caractérise la réalité humaine ainsi que notre existence personnelle, nous pouvons dire avec certitude que la plus grande leçon léguée par la Covid-19 est la conscience du fait que nous avons tous besoin les uns des autres, que notre plus grand trésor, et aussi le plus fragile, est la fraternité humaine fondée sur notre filiation divine commune, et que personne ne peut se sauver tout seul. Il est donc urgent de rechercher et de promouvoir ensemble les valeurs universelles qui tracent le chemin de cette fraternité humaine. Nous avons également appris que la confiance dans le progrès, la technologie et les effets de la mondialisation n'a pas seulement été excessive, mais s'est transformée en un poison individualiste et idolâtre, menaçant la garantie souhaitée de justice, de concorde et de paix. Dans notre monde qui court très vite, les problèmes généralisés de déséquilibres, d'injustices, de pauvretés et de marginalisations alimentent très souvent des troubles et des conflits, et engendrent des violences voire des guerres.
Tandis que, d'une part, la pandémie a fait émerger tout cela, nous avons fait d'autre part des découvertes positives : un retour bénéfique à l'humilité ; une réduction de certaines prétentions consuméristes ; un sens renouvelé de la solidarité qui nous incite à sortir de notre égoïsme pour nous ouvrir à la souffrance des autres et à leurs besoins ; un engagement, parfois vraiment héroïque, de tant de personnes qui se sont dépensées pour que tous puissent mieux surmonter le drame de l'urgence.
Il a résulté de cette expérience une conscience plus forte qui invite chacun, peuples et nations, à remettre au centre le mot "ensemble". En effet, c'est ensemble, dans la fraternité et la solidarité, que nous construisons la paix, que nous garantissons la justice et que nous surmontons les événements les plus douloureux. En effet, les réponses les plus efficaces à la pandémie ont été celles qui ont vu des groupes sociaux, des institutions publiques et privées, des organisations internationales, s'unir pour relever le défi en laissant de côté les intérêts particuliers. Seule la paix qui naît de l'amour fraternel et désintéressé peut nous aider à surmonter les crises personnelles, sociales et mondiales.
4. Dans le même temps, au moment où nous osions espérer que le pire de la nuit de la pandémie de Covid-19 avait été surmonté, une nouvelle calamité terrible s'est abattue sur l'humanité. Nous avons assisté à l’apparition d'un autre fléau : une guerre de plus, en partie comparable à la Covid-19 mais cependant motivée par des choix humains coupables. La guerre en Ukraine sème des victimes innocentes et répand l'incertitude, non seulement pour ceux qui sont directement touchés, mais aussi pour tout le monde, de manière étendue et indiscriminée, y compris pour tous ceux qui, à des milliers de kilomètres de distance, souffrent des effet collatéraux - il suffit de penser aux problèmes du blé et du prix du carburant.
Ce n'est certes pas l'ère post-Covid que nous espérions ou attendions. En effet, cette guerre, comme tous les autres conflits répandus de par le monde, est une défaite pour l’humanité entière et pas seulement pour les parties directement impliquées. Alors qu’un vaccin a été trouvé pour la Covid-19, des solutions adéquates n'ont pas encore été trouvées pour la guerre. Le virus de la guerre est certainement plus difficile à vaincre que ceux qui affectent l'organisme humain, car il ne vient pas de l'extérieur mais de l'intérieur, du cœur humain, corrompu par le péché (cf. Évangile de Marc 7, 17-23).
5. Que nous est-il donc demandé de faire ? Tout d'abord, de nous laisser changer le cœur par l'urgence que nous avons vécue, c'est-à-dire permettre à Dieu, à travers ce moment historique, de transformer nos critères habituels d'interprétation du monde et de la réalité. Nous ne pouvons plus penser seulement à préserver l'espace de nos intérêts personnels ou nationaux, mais nous devons y penser à la lumière du bien commun, avec un sens communautaire c'est-à-dire comme un "nous" ouvert à la fraternité universelle. Nous ne pouvons pas continuer à nous protéger seulement nous-mêmes, mais il est temps de nous engager tous pour guérir notre société et notre planète, en créant les bases d'un monde plus juste et plus pacifique, effectivement engagé dans la poursuite d'un bien qui soit vraiment commun.
Pour y parvenir et vivre mieux après l'urgence de la Covid-19, nous ne pouvons pas ignorer un fait fondamental : les nombreuses crises morales, sociales, politiques et économiques que nous vivons sont toutes interconnectées. Ce que nous considérons comme étant des problèmes individuels sont en réalité causes ou conséquences les unes des autres. Nous sommes appelés à relever les défis de notre monde, avec responsabilité et compassion. Nous devons réexaminer la question de la garantie de la santé publique pour tous ; promouvoir des actions en faveur de la paix pour mettre fin aux conflits et aux guerres qui continuent à faire des victimes et à engendrer la pauvreté ; prendre soin, de manière concertée, de notre maison commune et mettre en œuvre des mesures claires et efficaces pour lutter contre le changement climatique ; combattre le virus des inégalités et garantir l'alimentation ainsi qu’un travail décent pour tous, en soutenant ceux qui n'ont pas même un salaire minimum et se trouvent en grande difficulté. Le scandale des peuples affamés nous blesse. Nous devons développer, avec des politiques appropriées, l'accueil et l'intégration, en particulier des migrants et de ceux qui vivent comme des rejetés dans nos sociétés. Ce n'est qu'en nous dépensant dans ces situations, avec un désir altruiste inspiré par l'amour infini et miséricordieux de Dieu, que nous pourrons construire un monde nouveau et contribuer à édifier le Royaume de Dieu qui est un Royaume d'amour, de justice et de paix.
En partageant ces réflexions, je souhaite qu'au cours de la nouvelle année, nous puissions marcher ensemble en conservant précieusement ce que l'histoire peut nous apprendre. Je présente mes meilleurs vœux aux Chefs d'État et de Gouvernement, aux Responsables des Organisations internationales, aux Leaders des différentes religions. À tous les hommes et femmes de bonne volonté, je leur souhaite de construire, jour après jour en artisans de la paix, une bonne année ! Que Marie Immaculée, Mère de Jésus et Reine de la Paix, intercède pour nous et pour le monde entier.
Du Vatican, le 8 décembre 2022
François
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« Cette Journée revient cette année encore comme une saine provocation pour nous pour nous aider à réfléchir sur notre style de vie et sur les nombreuses pauvretés actuelles. »
Le Pape François fixe clairement le cadre de cette Journée dès le début de son message.
Nous pouvons nous émouvoir avec lui du nombre croissant de pauvres que les guerres engendrent et nous demander aussi « comment donner une réponse adéquate capable d’apporter soulagement et paix à tant de personnes laissées à la merci de l’incertitude et de la précarité. »
Nous sommes invités à « garder le regard fixé sur Jésus qui, de riche S’est fait pauvre à cause de vous, pour que vous deveniez riches par Sa pauvreté. » (2 Corinthiens 8, 9). Après avoir évoqué l’épisode de la grande collecte organisée par Paul à Jérusalem, le Pape se réjouit de ce « geste de joie et de responsabilité accompli depuis par les Chrétiens chaque dimanche à l’Eucharistie. » Mais, tout comme l’enthousiasme des premières communautés diminua, les disponibilités d’accueil, d’aides aux réfugiés faiblit aussi de nos jours. « Les familles et les communautés commencent à ressentir le poids d’une situation qui va au-delà de l’urgence. C’est le moment de ne pas faiblir et de renouveler la motivation initiale … La solidarité, c’est partager le peu que nous avons avec ceux qui n’ont rien, afin que personne ne souffre. Comme Chrétiens, retrouvons toujours dans la charité, dans la foi l’espérance le fondement de notre être et de notre agir. »
« Face aux pauvres, on ne fait pas de rhétorique, mais on se retrousse les manches, et on met la Foi en pratique ! » Mais sans nous méprendre : il ne s’agit pas d’avoir un comportement d’assistance, ce n’est pas l’activisme qui sauve. Personne ne peut se sentir exempté de la préoccupation pour les pauvres !
Pauvreté qui tue et pauvreté qui libère : la première, c’est la misère, l’injustice, l’exploitation, la violence, le désespoir. La seconde, c’est la voie que nous montre Jésus : « celle qui se place devant nous comme un choix responsable pour nous concentrer sur l’essentiel, c’est l’amour vrai et gratuit. Les pauvres, avant d’être l’objet de notre aumône, sont les sujets qui nous aident à nous libérer des liens de l’inquiétude et de la superficialité. » Le message du Pape s’achève par un encouragement à méditer ces paroles de Charles de Foucauld, canonisé le 15 mai dernier : ne méprisons pas les pauvres, non seulement ce sont des frères en Dieu, mais ce sont ceux qui imitent le plus parfaitement Jésus ! »
On pourra consulter le site Internet du Secours Catholique, Caritas France, et découvrir avec bonheur cet ouvrage Des pauvres au Pape, du Pape au monde, éditions du Seuil, avril 2022. C’est un dialogue atypique, simple mais très enrichissant entre François et des sans-abri de de différentes nationalités.
Festival des Jeunes 2022 - Pastorale des jeunes du diocèse de l'Allier
Le Festival des Jeunes est de retour pour une édition sur le thème "Aime et fais ce que tu veux". Tu es collégien et tu as reçu le sacrement de confirmation : ce week-end est pour toi ! Au prog...
https://www.jeune-catholique-moulins.fr/events/festival-des-jeunes-2022/
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CIASE: Un après les révélations, comment comprendre et réparer ? | La grande émission
Le 21 octobre dernier, à l'initiative d'un groupe de paroissiens de Montluçon, une table ronde a été organisée autour de cette question: Un après les révélations, comment comprendre et rép...
https://www.rcf.fr/actualite/la-grande-emission-0?episode=301742
Le 21 octobre dernier, à l’initiative d’un groupe de paroissiens de Montluçon, une table ronde a été organisée autour de cette question: Un après les révélations, comment comprendre et réparer ?
Avec Véronique GARNIER, victime d’abus, Joël MOLINARIO, membre de la CIASE et Odile TALPIN, membre de la cellule d’écoute du diocèse de Moulins.
Une table ronde animée par Stéphane LONGIN, directeur de RCF Auvergne.
Dans son message, le Pape François a souhaité s’arrêter sur 3 expressions clé qui résument les fondements de la vie et la mission des disciples :
1/ Vous serez mes témoins : « La mission se fait ensemble, en communion avec la communauté ecclésiale … Les missionnaires du Christ ne sont pas envoyés pour montrer leurs qualités et leurs capacités de persuasion ; ils ont le grand honneur d’ offrir le Christ, en paroles et en actes, en annonçant à tous la Bonne Nouvelle du salut, avec joie et franchise. »
2/ Jusqu’aux extrémités de la terre : « Le caractère universel de la mission apparaît clairement … Mais les disciples ne sont pas envoyés pour faire du prosélytisme ; ils nous donnent une belle image de l’Eglise en sortie. Quelque chose de similaire se produit encore à notre époque : « Nous sommes reconnaissants envers ces frères et sœurs contraints de fuir leur terre, qui ne s’enferment( pas dans leurs souffrances , mais témoignent du Christ et de l’amour de Dieu dans les pays qui les accueillent … L’Eglise sera toujours en sortie vers de nouveaux horizons, géographiques, mais aussi existentiels, vers des lieux et des situations humaines limites … afin de témoigner auprès de tout peuple, de toute culture et de tout statut social . »
3/ Vous allez recevoir une force quand le Saint-Esprit viendra sur vous : « Le Christ ressuscité promet la Grâce pour une si grande responsabilité … Aucun Chrétien ne peut rendre un témoignage complet et authentique au Christ sans l’inspiration et l’aide de l’Esprit. C’est Lui qui donne la parole juste, au bon moment et de juste manière … Le même Esprit inspira également des hommes et des femmes simples pour des missions extraordinaires : Pauline JARICOT et Charles de FOUCAULD, respectivement béatifiée et canonisé en mai dernier.
Cette année nous donne l’occasion de commémorer les 400 ans de la fondation de la Congrégation Propaganda Fide (aujourd’hui : Pou l’Evangélisation des Peuples) et les 200 ans l’Oeuvre pour la Propagation de la Foi.
Le Pape mentionne égalent les Œuvres Pontificales Missionnaires, souligne leurs grands mérites historiques et nous invite à nous en réjouir. Grâce à elles :
1 117 diocèses sont aidés dans le monde (dont 82 en Amérique Latine, 575 en Afrique, 60 en Océanie, 379 en Asie et 20 en Europe), 5 000 projets financés, et 77 685 séminaristes soutenus. Les dons collectés (cette année la quête aura lieu le dimanche 23 octobre ) venaient en 2020 pour 43 % d’Europe et 33 % d’Amérique.
Ils étaient quelque 250 confirmands hier pour passer la journée ensemble. Rassemblés pour apprendre à mieux se connaître et débuter l'année de préparation à la confirmation, les jeunes de tout le diocèse se sont prêtés à un grand jeu autour des dons de l'Esprit. A cette occasion, ils ont pu rencontrer l'évêque qui les confirmera en mai et juin prochain et participer à l'eucharistie dans l'église de St-Pourçain.
photos diocésaines : https://we.tl/t-c2Iv25rV8j?src=dnl