Paroisse de la Sainte Famille
28, rue de la République 03600 Commentry Tel : 04 70 64 32 35
saintefamille03600@orange.fr
Diocèse de Moulins
Les 27 clochers de la paroisse
Le titre de « Mère de Dieu » ne signifie pas que Marie aurait existé avant Dieu ou l’aurait créé, mais qu’elle a donné naissance à Jésus qui est pleinement Dieu et pleinement homme.
Le P.Broult en a profité à la sortie de la messe pour saluer les paroissiens et leur souhaiter une bonne et sainte année 2023, voeux qu'il adresse également à chaque paroissien de la Sainte Famille à travers ce blog.
MESSAGE DU PAPE
FRANÇOIS
POUR LA CÉLÉBRATION DE LA
LVe JOURNÉE MONDIALE DE LA PAIX
1er JANVIER 2023
Personne ne peut se sauver tout seul.
Repartir après la Covid-19 pour tracer ensemble des sentiers de paix
« Pour ce qui est des temps et des moments de la venue du Seigneur, vous n’avez pas besoin, frères, que je vous en parle dans ma lettre. Vous savez très bien que le jour du Seigneur vient comme un voleur dans la nuit » (Première Lettre de Saint Paul aux Thessaloniciens 5, 1-2).
1. L'Apôtre Paul invitait par ces mots la communauté de Thessalonique à rester ferme dans l'attente de la rencontre avec le Seigneur, les pieds et le cœur sur terre, capable de porter un regard attentif sur la réalité et les événements de l'histoire. C'est pourquoi, même si les événements de notre existence semblent tragiques et que nous nous sentons poussés dans le tunnel sombre et pénible de l'injustice et de la souffrance, nous sommes appelés à garder le cœur ouvert à l'espérance, en faisant confiance à Dieu qui se rend présent, nous accompagne avec tendresse, nous soutient dans notre fatigue et, surtout, guide notre chemin. C'est pourquoi saint Paul exhorte constamment la communauté à veiller, en recherchant le bien, la justice et la vérité : « Ne restons pas endormis comme les autres, mais soyons vigilants et restons sobres » (5, 6). C'est une invitation à rester en éveil, à ne pas nous enfermer dans la peur, la souffrance ou la résignation, à ne pas céder à la distraction, à ne pas nous décourager, mais à être au contraire comme des sentinelles capables de veiller et de saisir les premières lueurs de l'aube, surtout aux heures les plus sombres.
2. La Covid-19 nous a plongés dans la nuit, déstabilisant notre vie ordinaire, chamboulant nos plans et nos habitudes, bouleversant l'apparente tranquillité des sociétés, même les plus privilégiées, entrainant désorientation et souffrance, causant la mort de beaucoup de nos frères et sœurs.
Entrainé dans un tourbillon de défis imprévus et dans une situation qui n'était pas très claire, même du point de vue scientifique, le monde de la santé s'est mobilisé pour soulager la douleur de nombre de personnes et tenter d'y remédier, tout comme les Autorités politiques qui ont dû prendre des mesures importantes en termes d'organisation et de gestion de l'urgence.
En plus des manifestations physiques, la Covid-19 a provoqué, parfois à long terme, un malaise général qui a grandi dans le cœur de nombreux individus et familles, avec des effets considérables alimentés par de longues périodes d'isolement et diverses restrictions de liberté.
En outre, nous ne pouvons pas oublier la manière dont la pandémie a touché certains aspects sensibles de l’ordre social et économique, faisant ressortir des contradictions et des inégalités. Elle a menacé la sécurité de l'emploi de nombreuses personnes et aggravé la solitude de plus en plus répandue dans nos sociétés, notamment celle des plus faibles et des pauvres. Pensons, par exemple, aux millions de travailleurs clandestins dans de nombreuses régions du monde, qui sont restés sans emploi et sans aucun soutien durant tout le confinement.
Les individus et la société progressent rarement dans des situations générant un tel sentiment de défaite et d'amertume : ce dernier affaiblit les efforts dépensés pour la paix et provoque des conflits sociaux, des frustrations et des violences de toutes sortes. En ce sens, la pandémie semble avoir bouleversé même les parties les plus paisibles de notre monde, faisant ressortir d'innombrables fragilités.
3. Après trois années, l’heure est venue de prendre le temps de nous interroger, d'apprendre, de grandir et de nous laisser transformer, tant individuellement que communautairement ; un temps privilégié pour se préparer au "jour du Seigneur". J'ai déjà eu l’occasion de répéter qu’on ne sort jamais identiques des moments de crise : on en sort soit meilleur, soit pire. Aujourd'hui, nous sommes appelés à nous demander : qu'avons-nous appris de cette situation de pandémie ? Quels chemins nouveaux devons-nous emprunter pour nous défaire des chaînes de nos vieilles habitudes, pour être mieux préparés, pour oser la nouveauté ? Quels signes de vie et d'espérance pouvons-nous saisir pour aller de l'avant et essayer de rendre notre monde meilleur ?
Après avoir touché du doigt la fragilité qui caractérise la réalité humaine ainsi que notre existence personnelle, nous pouvons dire avec certitude que la plus grande leçon léguée par la Covid-19 est la conscience du fait que nous avons tous besoin les uns des autres, que notre plus grand trésor, et aussi le plus fragile, est la fraternité humaine fondée sur notre filiation divine commune, et que personne ne peut se sauver tout seul. Il est donc urgent de rechercher et de promouvoir ensemble les valeurs universelles qui tracent le chemin de cette fraternité humaine. Nous avons également appris que la confiance dans le progrès, la technologie et les effets de la mondialisation n'a pas seulement été excessive, mais s'est transformée en un poison individualiste et idolâtre, menaçant la garantie souhaitée de justice, de concorde et de paix. Dans notre monde qui court très vite, les problèmes généralisés de déséquilibres, d'injustices, de pauvretés et de marginalisations alimentent très souvent des troubles et des conflits, et engendrent des violences voire des guerres.
Tandis que, d'une part, la pandémie a fait émerger tout cela, nous avons fait d'autre part des découvertes positives : un retour bénéfique à l'humilité ; une réduction de certaines prétentions consuméristes ; un sens renouvelé de la solidarité qui nous incite à sortir de notre égoïsme pour nous ouvrir à la souffrance des autres et à leurs besoins ; un engagement, parfois vraiment héroïque, de tant de personnes qui se sont dépensées pour que tous puissent mieux surmonter le drame de l'urgence.
Il a résulté de cette expérience une conscience plus forte qui invite chacun, peuples et nations, à remettre au centre le mot "ensemble". En effet, c'est ensemble, dans la fraternité et la solidarité, que nous construisons la paix, que nous garantissons la justice et que nous surmontons les événements les plus douloureux. En effet, les réponses les plus efficaces à la pandémie ont été celles qui ont vu des groupes sociaux, des institutions publiques et privées, des organisations internationales, s'unir pour relever le défi en laissant de côté les intérêts particuliers. Seule la paix qui naît de l'amour fraternel et désintéressé peut nous aider à surmonter les crises personnelles, sociales et mondiales.
4. Dans le même temps, au moment où nous osions espérer que le pire de la nuit de la pandémie de Covid-19 avait été surmonté, une nouvelle calamité terrible s'est abattue sur l'humanité. Nous avons assisté à l’apparition d'un autre fléau : une guerre de plus, en partie comparable à la Covid-19 mais cependant motivée par des choix humains coupables. La guerre en Ukraine sème des victimes innocentes et répand l'incertitude, non seulement pour ceux qui sont directement touchés, mais aussi pour tout le monde, de manière étendue et indiscriminée, y compris pour tous ceux qui, à des milliers de kilomètres de distance, souffrent des effet collatéraux - il suffit de penser aux problèmes du blé et du prix du carburant.
Ce n'est certes pas l'ère post-Covid que nous espérions ou attendions. En effet, cette guerre, comme tous les autres conflits répandus de par le monde, est une défaite pour l’humanité entière et pas seulement pour les parties directement impliquées. Alors qu’un vaccin a été trouvé pour la Covid-19, des solutions adéquates n'ont pas encore été trouvées pour la guerre. Le virus de la guerre est certainement plus difficile à vaincre que ceux qui affectent l'organisme humain, car il ne vient pas de l'extérieur mais de l'intérieur, du cœur humain, corrompu par le péché (cf. Évangile de Marc 7, 17-23).
5. Que nous est-il donc demandé de faire ? Tout d'abord, de nous laisser changer le cœur par l'urgence que nous avons vécue, c'est-à-dire permettre à Dieu, à travers ce moment historique, de transformer nos critères habituels d'interprétation du monde et de la réalité. Nous ne pouvons plus penser seulement à préserver l'espace de nos intérêts personnels ou nationaux, mais nous devons y penser à la lumière du bien commun, avec un sens communautaire c'est-à-dire comme un "nous" ouvert à la fraternité universelle. Nous ne pouvons pas continuer à nous protéger seulement nous-mêmes, mais il est temps de nous engager tous pour guérir notre société et notre planète, en créant les bases d'un monde plus juste et plus pacifique, effectivement engagé dans la poursuite d'un bien qui soit vraiment commun.
Pour y parvenir et vivre mieux après l'urgence de la Covid-19, nous ne pouvons pas ignorer un fait fondamental : les nombreuses crises morales, sociales, politiques et économiques que nous vivons sont toutes interconnectées. Ce que nous considérons comme étant des problèmes individuels sont en réalité causes ou conséquences les unes des autres. Nous sommes appelés à relever les défis de notre monde, avec responsabilité et compassion. Nous devons réexaminer la question de la garantie de la santé publique pour tous ; promouvoir des actions en faveur de la paix pour mettre fin aux conflits et aux guerres qui continuent à faire des victimes et à engendrer la pauvreté ; prendre soin, de manière concertée, de notre maison commune et mettre en œuvre des mesures claires et efficaces pour lutter contre le changement climatique ; combattre le virus des inégalités et garantir l'alimentation ainsi qu’un travail décent pour tous, en soutenant ceux qui n'ont pas même un salaire minimum et se trouvent en grande difficulté. Le scandale des peuples affamés nous blesse. Nous devons développer, avec des politiques appropriées, l'accueil et l'intégration, en particulier des migrants et de ceux qui vivent comme des rejetés dans nos sociétés. Ce n'est qu'en nous dépensant dans ces situations, avec un désir altruiste inspiré par l'amour infini et miséricordieux de Dieu, que nous pourrons construire un monde nouveau et contribuer à édifier le Royaume de Dieu qui est un Royaume d'amour, de justice et de paix.
En partageant ces réflexions, je souhaite qu'au cours de la nouvelle année, nous puissions marcher ensemble en conservant précieusement ce que l'histoire peut nous apprendre. Je présente mes meilleurs vœux aux Chefs d'État et de Gouvernement, aux Responsables des Organisations internationales, aux Leaders des différentes religions. À tous les hommes et femmes de bonne volonté, je leur souhaite de construire, jour après jour en artisans de la paix, une bonne année ! Que Marie Immaculée, Mère de Jésus et Reine de la Paix, intercède pour nous et pour le monde entier.
Du Vatican, le 8 décembre 2022
François
La prière du Pape François à l'intention de la Sainte Famille
Jésus, Marie et Joseph,
en vous nous contemplons
la splendeur de l’amour véritable,
à vous nous nous adressons avec confiance.
Sainte Famille de Nazareth,
fais aussi de nos familles
des lieux de communion et des cénacles de prière,
des écoles authentiques de l’Évangile
et des petites Églises domestiques.
Sainte Famille de Nazareth,
que jamais plus dans les familles on fasse l’expérience
de la violence, de la fermeture et de la division :
que quiconque a été blessé ou scandalisé
connaisse rapidement consolation et guérison.
Jésus, Marie et Joseph, écoutez-nous, exaucez notre prière.
Goire à Dieu au plus haut des cieux
et paix sur la terre aux hommes qu'Il aime !
************
Evangile de Jésus-Christ selon Saint Luc (II, 1-14 )
En ces jours-là, parut un édit de l'empereur Auguste, ordonnant de recenser toute la terre - Ce premier recensement eut lieu lorsque Quirinius était gouverneur de Syrie. - Et chacun allait se faire inscrire dans sa ville d'origine. Joseph, lui aussi, quitta la ville de Nazareth en Galilée, pour monter en Judée, à la ville de David appelée Bethléem, car il était de la maison et de la descendance de David. Il venait se faire inscrire avec Marie, son épouse, qui était enceinte.
Or, pendant qu'ils étaient là, arrivèrent les jours où elle devait enfanter. Et elle mit au monde son fils premier-né ; elle l'emmaillota et le coucha dans une mangeoire, car il n'y avait pas de place pour eux dans la salle commune.
Dans les environs se trouvaient des bergers qui passaient la nuit dans les champs pour garder leurs troupeaux. L'Ange du Seigneur s'approcha, et la gloire du Seigneur les enveloppa de sa lumière. Ils furent saisis d'une grande crainte, mais l'ange leur dit : « Ne craignez pas, car voici que je viens vous annoncer une bonne nouvelle, une grande joie pour tout le peuple : aujourd'hui vous est né un Sauveur, dans la ville de David. Il est le Messie, le Seigneur. Et voilà le signe qui vous est donné : vous trouverez un nouveau-né emmailloté et couché dans une mangeoire » Et soudain il y eut avec l'ange une troupe céleste innombrable, qui louait Dieu en disant : « Gloire à Dieu au plus haut des cieux, et paix sur la terre aux hommes de bonne volonté. »
Recevoir le sacrement de réconciliation ...
· Mercredi 22 décembre : de 9h à 11h au centre paroissial (28 rue de la République) à Commentry
· Jeudi 22 décembre : de 10h à 11h à l’église de Marcillat et de 16 h à 19 h au centre paroissial à Commentry
· Vendredi 23 décembre : après la messe de 10h à la salle OLIVIER à Commentry - jusqu’à 11h
· Samedi 24 décembre : 9h-11h30 au centre paroissial (28 rue de la République) à Commentry
JOURNEE DU PARDON : Vendredi 23 décembre, de 10h à 20h à l'église Notre-Dame à Montluçon
Journée du pardon, Confessions, Ecoute : le Vendredi 23 décembre, de 10 h à 20 h à l'église Notre Dame à Montluçon
« Je voudrais vous demander — que chacun réponde dans son cœur : quand t’es-tu confessé(e) pour la dernière fois ? Que chacun y pense… Cela fait deux jours, deux semaines, deux ans, vingt ans, quarante ans ? Que chacun fasse le compte, mais que chacun se dise : quand est-ce que je me suis confessé la dernière fois ? Et si beaucoup de temps s’est écoulé, ne perds pas un jour de plus, va, le prêtre sera bon. Jésus est là, et Jésus est plus bon que les prêtres, Jésus te reçoit, il te reçoit avec tant d’amour. Sois courageux et va te confesser ! »
(Pape François)
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La couronne de l'Avent - L'art de devancer l'aurore
L'usage de la couronne de l'Avent s'est largement répandu. Mais en connaît-on vraiment l'origine et surtout sa portée symbolique? Voici racontée son histoire avec en prime une petite célébrat...
« Cette Journée revient cette année encore comme une saine provocation pour nous pour nous aider à réfléchir sur notre style de vie et sur les nombreuses pauvretés actuelles. »
Le Pape François fixe clairement le cadre de cette Journée dès le début de son message.
Nous pouvons nous émouvoir avec lui du nombre croissant de pauvres que les guerres engendrent et nous demander aussi « comment donner une réponse adéquate capable d’apporter soulagement et paix à tant de personnes laissées à la merci de l’incertitude et de la précarité. »
Nous sommes invités à « garder le regard fixé sur Jésus qui, de riche S’est fait pauvre à cause de vous, pour que vous deveniez riches par Sa pauvreté. » (2 Corinthiens 8, 9). Après avoir évoqué l’épisode de la grande collecte organisée par Paul à Jérusalem, le Pape se réjouit de ce « geste de joie et de responsabilité accompli depuis par les Chrétiens chaque dimanche à l’Eucharistie. » Mais, tout comme l’enthousiasme des premières communautés diminua, les disponibilités d’accueil, d’aides aux réfugiés faiblit aussi de nos jours. « Les familles et les communautés commencent à ressentir le poids d’une situation qui va au-delà de l’urgence. C’est le moment de ne pas faiblir et de renouveler la motivation initiale … La solidarité, c’est partager le peu que nous avons avec ceux qui n’ont rien, afin que personne ne souffre. Comme Chrétiens, retrouvons toujours dans la charité, dans la foi l’espérance le fondement de notre être et de notre agir. »
« Face aux pauvres, on ne fait pas de rhétorique, mais on se retrousse les manches, et on met la Foi en pratique ! » Mais sans nous méprendre : il ne s’agit pas d’avoir un comportement d’assistance, ce n’est pas l’activisme qui sauve. Personne ne peut se sentir exempté de la préoccupation pour les pauvres !
Pauvreté qui tue et pauvreté qui libère : la première, c’est la misère, l’injustice, l’exploitation, la violence, le désespoir. La seconde, c’est la voie que nous montre Jésus : « celle qui se place devant nous comme un choix responsable pour nous concentrer sur l’essentiel, c’est l’amour vrai et gratuit. Les pauvres, avant d’être l’objet de notre aumône, sont les sujets qui nous aident à nous libérer des liens de l’inquiétude et de la superficialité. » Le message du Pape s’achève par un encouragement à méditer ces paroles de Charles de Foucauld, canonisé le 15 mai dernier : ne méprisons pas les pauvres, non seulement ce sont des frères en Dieu, mais ce sont ceux qui imitent le plus parfaitement Jésus ! »
On pourra consulter le site Internet du Secours Catholique, Caritas France, et découvrir avec bonheur cet ouvrage Des pauvres au Pape, du Pape au monde, éditions du Seuil, avril 2022. C’est un dialogue atypique, simple mais très enrichissant entre François et des sans-abri de de différentes nationalités.
Les 12 & 13 novembre, en paroisse, une messe spécifique sera dite pour les donateurs de notre diocèse. Qu’ils donnent de leur temps ou qu’ils soutiennent financièrement la paroisse et l’Eglise en Bourbonnais par leurs dons, ce sera l’occasion toute particulière de leur dire merci. Sans eux, l’Eglise ne pourrait pas poursuivre sa Mission. Merci !
Festival des Jeunes 2022 - Pastorale des jeunes du diocèse de l'Allier
Le Festival des Jeunes est de retour pour une édition sur le thème "Aime et fais ce que tu veux". Tu es collégien et tu as reçu le sacrement de confirmation : ce week-end est pour toi ! Au prog...
https://www.jeune-catholique-moulins.fr/events/festival-des-jeunes-2022/